Carine ma belle-fille

15 heures, Je viens de prendre ma douche car j'ai passé plus de 2 heures à
finir de monter mon abri de jardin. Bien que la température extérieure ne
dépasse pas les 20 degré en cette fin septembre, j'ai attrapé une suée et
bien mérité une bonne douche fraîche.
En plus, je suis seul à la maison, ma copine étant au boulot, et ma
belle-fille à la fac.

Je fini donc de sécher ce corps d'un homme de 42 ans qui est encore bien
conservé grâce au sport. Je sors de la salle de bain, nu comme un verre, et
je reçois un électrochoc. A 2 mètre de moi se trouve Carine, ma belle-fille
de 19 ans. Elle est comme la plupart des filles de cet âge là, superbe,
avec de longs cheveux châtains, une taille de guêpe, un ventre plat, de
toutes petites fesses et une poitrine qui tient dans des bonnets D et que
l'attraction terrestre ne parvient pas à faire baisser.
Enfin bref, je me retrouve face à elle, dans le plus simple appareil. Je
panique, et place mes mains devant mon intimité, surtout par réflexe.
Je me confond en excuses. « Je croyais que t'étais à la fac, et que j'étais
tout seul, excuses-moi ! »

Elle me regarde en riant, et me répond « te fatigue pas à cacher tout ça,
j'en ai vu d'autres et j'en perdrais pas la vue. »

Je me ressaisi,  retrouve un peu d'aplomb, enlevant mes mains qui cachaient
mon sexe, lui répond, « comme tu veux, ça ne me dérange pas non plus. »

Elle pousse un « oh » de surprise en me voyant comme ça.
« Elle est pas comme celle de mon copain ! Elle est plus grosse et lui il a
plein de poils partout autour. »
Il faut dire que je suis circoncis et épilé, et que je ne laisse qu'un peu
de poils au dessus de mon sexe. Le reste est lisse comme une peau de bébé
jusqu'aux fesses.

« Normalement, moi aussi, mais je préfère m'épiler, je trouve ça plus beau
et plus doux. »
« C'est vrai que c'est plus joli comme ça, plus doux je sais pas ! »

La discussion sur mon sexe, le fait d'être nu devant ma belle-fille, si
belle, fait que, bien involontairement, ma queue a pris de l'ampleur.  Je
ne bande pas, mais elle n'est plus pendouillante. Ma queue est gonflée, et
en rapport aux aiguilles d'une pendule, elle n'est plus à 6 heures, mais
plutôt à 8.

Carine s'en est sûrement aperçu, car elle ne détache pas ses yeux de mon
sexe. C'est elle qui reprend :

« C'est vrai que ça a l'air plus doux comme ça. »

« Si je te le dis !  Touche si tu veux, tu verras. »

Je n'ai pas besoin de répéter ma phrase. Elle fait 2 pas et avance sa main
vers moi. Elle passe tout d'abord le bout de ses doigts le long de ma
queue, qui, presque aussitôt, se redresse et se met au garde à vous. Avec
un « houla » d'admiration, elle prend carrément mon sexe dans sa main et
tâte la marchandise qui continue de gonfler. Sa main commence un léger
mouvement de va-et-vient qui m'arrache un soupir d'aisance. Sa 2ème main
vient automatiquement se placer sous mes couilles et les caresse.

De mon coté, je ne reste pas immobile et je passe une main dans son dos
pour la rapprocher de moi et mon autre main lui caresse les seins sur son
tee-shirt. Elle se laisse faire et continue sa besogne. M'enhardissant, je
glisse ma main gauche sous l'élastique de son pantalon taille-basse et lui
caresse les fesses. Je sens son string sous mes doigts et cela m'excite
encore plus.
Ma main droite passe sous son tee-shirt, pour mieux sentir sa poitrine
ferme. Ses tétons sont tendus sous la dentelle.

Je quitte provisoirement mes activités manuelles pour dégrafer son pantalon
et son soutif. Je lui enlève son tee-shirt et elle se retrouve en moins de
temps qu'il faut pour le dire, avec pour seul vêtement, son string rose.
Elle est superbe, digne d'un magasine de mode.

Je l'entraîne vers la chambre toute proche et nous basculons sur le lit. Ma
bouche s'empare de ses seins. Je la lèche et l'embrasse partout. Je tète
ses bouts de seins, embrasse son petit ventre, passe mes lèvres sur son
sexe à travers le fin tissus du string. Nous sommes comme fous. Je descends
au pied du lit et, glissant mes doigts sous l'élastique, au niveau de ses
hanches, je fais descendre le mince rempart de tissus qui séparait ma
langue de sa petit chatte de jeune fille.

Ma langue remonte doucement sur ses cuisses et arrive à l'entrejambe. Là je
la sens resserrer ses cuisses comme pour m'interdire l'accès à cet endroit
magique.
« Qu'' est ce que tu fais ? » me demande-t-elle.
« Comment, ton copain ne t'as jamais caressé comme ça ? »
« Non, il me fait l'amour, c'est tout ! »
« Attends, faire l'amour, c'est d'abord se caresser chacun son tour, se
donner du plaisir par plein de façon différentes.  Laisses-toi faire, tu ne
le regretteras pas, promis. »

Je lui écarte doucement les cuisses et remonte le long des jambes avec ma
langue. J'arrive à son mont de vénus et commence à lécher ses lèvres puis
son clito. Je le sent durcir sous la pointe de ma langue. Je suce son
clito, je la pénètre avec ma langue, je passe ma langue de son pubis
jusqu'en haut de ses fesses et je la sent se raidir et frémir de plaisir.
Au moment ou je suis en train de lui téter son clito avec deux doigts au
fond de sa petite chatte, elle se cambre, ses cuisses se tendent et se
raidissent, et elle laisse échapper comme un feulement qui se termine par
un petit cri, et elle se laisse retomber, toute molle, le souffle court.

Je m'assied sur son ventre, la queue au garde à vous, prête à éclater.
Instinctivement, elle l'a prends dans sa main et commence à la caresser.
Très rapidement, elle me branle avec beaucoup de douceur, comme si elle
avait peur de la casser. Je remonte sur elle et approche mon sexe vers son
visage. Elle continue.  Je pousse un peu et ma queue entre en contact avec
ses lèvres. Elle y dépose un simple baiser.
« Tu as aimé ce que je viens de te faire ? »
« Oui, j'ai adoré »
« Ce qui serait bien maintenant, c'est que tu fasse à peu près la même
chose avec moi. »
« Mais je ne sais pas faire ça ! »
« Imagine que tu suces une glace et apprécie autant que moi. »

Elle sort alors sa langue et commence à lécher ma hampe, jusqu'au gland. Je
force un peu le passage et elle ouvre la bouche pour accueillir cette glace
nouveau parfum.

Très rapidement, ses lèvres se referment sur mon sexe et je sens sa langue
qui suce et qui lèche. Je bouge en elle comme si j'étais dans son sexe puis
c'est elle-même qui donne le rythme tout en caressant mes couilles.
Je suis tellement excité que je suis obligé de lui dire d'arrêter, si je ne
veux pas la dégoûter pour une première fois.

Je redescends le long de son corps parfait et présente mon gland à l'entrée
de sa chatte encore trempée. Je n'ai pas besoin de pousser beaucoup pour
entrer en elle. Sa bouche s'ouvre en grand comme si elle cherchait de
l'oxygène. Elle ferme ses grands yeux noirs et se laisse pilonner. En très
peu de temps, elle s'accroche à moi pour jouir bruyamment.

« C'était génial, bien mieux qu'avec Nico. Comment tu fais ? »

« Tu en veux encore ? »
« C'est vrai, tu peux encore ?   Oui j'en veux »

Je me retire d'elle, et m'allonge sur le dos. Je lui dit de venir sur moi à
califourchon. Elle comprend vite et se plante sur ma queue toujours aussi
raide.
Là, elle se déchaîne sur mon sexe, et moi j'en profite pour lui caresser et
lécher ses seins si fermes. Nous jouissons en même temps et je sens mon
sperme qui se déverse à flots dans sa petite chatte brûlante. Elle
s'écroule sur moi avec ma queue plantée en elle. Elle se blottit contre
moi, comme une petite fille qui veut un câlin.

Ma queue se dégonfle et malgré moi, je la sent sortir de cet écrin de
bonheur.

Carine, se redresse, et me demande :
« Tu me caresse comme tout à l'heure ? »

Je ne réponds pas, la pousse sur le dos et descends vers sa chatte.
Son entrejambe est poisseuse, et les poils, peu fournis, sont collés avec
un mélange de cyprine et de sperme. La beauté de ce corps, m'enlève tout
dégoût et je commence à nettoyer ses petites lèvres toutes gonflées par le
plaisir. Je connais le goût de mon sperme pour en avoir déjà déguster. Une
fois son sexe redevenu propre, je m'attaque à son clito qui à l'air deux
fois plus sensible qu'avant. Trois minutes après, son corps se tend et elle
appuie ma tête contre sa chatte, et elle pousse un ooooouuuuuuiiiiiiiiii
qui en dit long.  Nous sommes restés longtemps à nous caresser doucement, à
nous faire des bisous partout, puis nous nous sommes douchés ensemble. Bien
entendu, le contact de l'eau et de son corps mouillé, m'a fait rebander,
mais nous n'avions plus le temps avant que sa mère ne rentre.
Depuis ce jour, dès que nous sommes seuls un moment dans la maison, elle en
profite pour m'embrasser ou me toucher, et chercher mes mains sur elle.
L'autre soir, elle sortait de la douche en peignoir, et sa mère était au
sous-sol pour vider la machine à laver, et elle a ouvert son peignoir. J'ai
juste eu le temps de la lécher et de la faire jouir . J'était en train de
m'essuyer la bouche quand sa mère est remontée. Nous attendons la prochaine
fois ou je serais seul à la maison.
 

Écrit par Mike,

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